

Tu tiens bon.
Tu manges “parfaitement” pendant 10 jours, tu refuses tous les écarts, tu comptes tout.
Et puis, un soir, tout s’effondre.
Un carré de chocolat, un apéro, un moment de relâche... et ton cerveau te murmure :
“Tant pis, j’ai tout gâché.”
Le lendemain, tu te réveilles avec ce goût amer du “j’ai encore échoué”.
Et la boucle recommence.
Mais et si ce n’était pas un manque de volonté,
et si c’était ton cerveau qui cherchait à te protéger ?
Le perfectionnisme n’est pas un signe de force.
C’est souvent un mécanisme de sécurité.
Tu crois que tu contrôles ta vie en contrôlant ton alimentation,
mais en réalité, ton cerveau cherche à éviter la déception :
“Si je fais tout bien, je ne pourrai pas échouer.”
Le problème, c’est que le corps, lui, n’est pas un robot.
Il vit, il ressent, il a des fluctuations hormonales, des émotions, des imprévus.
Et quand tu l’enfermes dans la rigidité, il finit par se rebeller.
Résultat : compulsions, fatigue, stagnation… et culpabilité.
Ton cerveau adore la dopamine : cette hormone du plaisir et de la récompense.
Au début d’un “plan parfait”, tu en produis plein : c’est l’euphorie du départ.
Mais au bout de quelques jours :
la dopamine chute,
ton cortisol (hormone du stress) monte,
ton insuline suit,
et ton métabolisme se met en mode défense.
En clair :
le “tout ou rien” t’épuise biologiquement autant que mentalement.
Tu perds ton énergie, ta concentration, ta motivation.
Et tu finis par craquer — pas par faiblesse, mais par épuisement hormonal.
Tu crois que le secret, c’est de “tenir bon”.
Mais la vraie clé, c’est de tenir longtemps.
Or, la perfection te fait avancer vite…
jusqu’à ce qu’elle te fasse tout arrêter.
Le progrès, lui, avance lentement,
mais il ne s’arrête jamais.
Ce n’est pas ta rigueur qu’il faut renforcer.
C’est ta capacité à te réajuster.
Quand tu manges de façon plus stable et bienveillante, ton corps entre en sécurité.
Et un corps en sécurité… lâche.
👉 Il lâche le stress.
👉 Il lâche la faim émotionnelle.
👉 Il lâche le poids qu’il retenait “par précaution”.
C’est pour ça que dans la méthode Madikéto, je parle de progression, pas de punition.
Tu n’as pas besoin d’être parfaite.
Tu as besoin d’être constante, curieuse, à l’écoute.
Exemple concret
Deux femmes suivent le même plan low carb.
La première vise la perfection : zéro écart, zéro imprévu, zéro plaisir.
La seconde apprend à s’ajuster : elle anticipe les brunchs, accepte les écarts, revient naturellement à son équilibre.
Trois mois plus tard ?
➡️ La première est fatiguée, frustrée, et a tout arrêté.
➡️ La seconde a perdu du poids, regagné de la clarté, et surtout : elle se sent libérée.
Le déclic
Tu n’as pas échoué parce que tu manques de volonté.
Tu échoues parce que tu t’épuises à vouloir être parfaite.
Le “tout ou rien” est ton vrai ennemi.
Et le “un pas à la fois” est ta plus grande force.
Chaque repas, chaque journée, chaque ajustement est une victoire métabolique.
Ce que tu peux faire dès aujourd’hui
1️⃣ Observe sans juger.
Remplace la phrase “J’ai craqué” par “Mon corps m’a parlé”.
2️⃣ Apprends à te réajuster.
Un écart ne t’éloigne pas de ton objectif,
il t’enseigne comment ton corps réagit.
3️⃣ Choisis la stabilité au lieu du contrôle.
Tu verras : les résultats durables apparaissent quand tu arrêtes de te battre contre toi-même.
Rejoins la méthode Madikéto
Dans Débloque Ta Balance, tu apprendras à :
✅ Sortir du cycle “effort / craquage / culpabilité”,
✅ Stabiliser ton corps et ton mental,
✅ Retrouver la liberté de manger sans peur.
💬 Découvre le programme ici → madiketo.com/debloque-ta-balance
et libère-toi du “tout ou rien” pour de bon.
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